Titre : Les enfants de Willesden Lane
Auteur : Mona Golabek et Lee Cohen
Editions : Hachette
Nombres de pages : 356
Depuis son plus jeune âge, Daniel Cunningham a vécu enfermé, avec pour seule compagnie les livres et sa mère - qui l'a gardé reclus, à l'écart du monde extérieur, et qui n'a cessé de lui répéter qu'il était malade. Un jour, des coups frappés à la porte vont tout changer. Des voisins ont découvert son existence, et résolu de libérer Daniel de l'emprise de sa mère. Pris en charge par le Dr Marlow et sa famille, il va découvrir peu à peu que tout ce qu'il tenait pour vrai jusque-là n'était qu'un tissu d'histoires racontées pour le protéger.
Mais le protéger de quoi ? De sa vie d'avant, Daniel n'a gardé qu'une maison de poupée. Et pas n'importe quelle maison de poupée : c'est la réplique exacte de la maison natale de sa mère, une maison qui recèle de nombreux et sombres secrets. Jusqu'à quels vertiges ces secrets conduiront-ils Daniel ?
Mon avis :
J'ai beaucoup aimé ce témoignage, un bel hymne à la musique, au combat. Ce fut un réel plaisir de lire les "aventures" de Lisa Jura, autrichienne, musicienne qui débarque à Londres pour fuir les nazis. Je me suis attachée à Willesden Lane à leurs habitants, j'étais touchée par ce qui leur arrivaient.
Le point important de roman est bien sûr la musique, tout est concentré sur ça, sur le pouvoir que la musique a pour combattre dans la vie, a continué à vivre ses rêves malgré la guerre, les séparations douloureuses.
En bref, un beau témoignage, témoignage de guerre, témoignage d'amour envers la musique.
4.75/5
Oh lala comme ça a l'air intriguant ! Je le note !
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